Économie

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En économie, la confiance se décline au pluriel. En avoir dans l’avenir, dans les autres individus, mais aussi dans les institutions comme la monnaie, conditionne la bonne marche des économies de marché.

En mai dernier s’est tenu à Montréal le congrès de l’Association francophone pour le savoir… sur fond d’ambiance québécoise et de grève estudiantine.

Pourquoi l’immense majorité des experts financiers de la planète ont-ils été incapables d’anticiper le désastre qui menaçait 
l’économie américaine en 2008 ?

L’entreprise familiale comporte de nombreux atouts : confiance, rareté 
des conflits, relative stabilité de l’emploi… Mais deux dangers la guettent : les aléas de l’héritage et la faiblesse en capital-risque.

Comment le déficit excessif du petit État grec a-t-il pu plonger l’ensemble des économies européennes dans la récession ?

Des spéculations sur les tulipes néerlandaises au XVIIe siècle à celle des subprimes en 2008, les mêmes mécanismes sont à l’œuvre 
dans les crises financières.

Du Macintosh 
à l’iPad, Apple a fait du lancement de produits innovants la clé de son succès. Cette trajectoire est associée à l’impulsion de Steve Jobs, leader charismatique de la firme à la pomme. L’environnement de l’entreprise a cependant joué un rôle tout aussi décisif.

On connaissait le surendettement des ménages. On n’imaginait pas que les États aussi pouvaient être surendettés ! Mais que représente exactement cette dette ? Est-elle si astronomique qu’on le dit ? Quelles sont les marges de manœuvre ?