Dans Un monde sous dopamine, la psychiatre américaine Anna Lembke analyse nos rapports modernes au plaisir et à la jouissance, et décrypte notamment les mécanismes neurophysiologiques en jeu dans les addictions.
Dans Un monde sous dopamine, la psychiatre américaine Anna Lembke analyse nos rapports modernes au plaisir et à la jouissance, et décrypte notamment les mécanismes neurophysiologiques en jeu dans les addictions.
Massivement fondées sur l’économie de l’attention, la plupart des plateformes numériques tirent leur rentabilité de la maximisation de notre temps d’utilisation. De quoi compromettre notre santé mentale ?
Contrairement à d’autres addictions comportementales comme les jeux de hasard ou les jeux vidéo, l’addiction au travail reste sujette à caution. Certains estiment qu’il s’agit plutôt d’une forme d’hyperactivité professionnelle que d’une réelle pathologie mentale.
L’ADN passe de plus en plus pour être à l’origine de nos capacités et de notre devenir, ce qui réduit fortement notre marge de choix. Pourtant cette thèse est loin de faire consensus.
L’intelligence, le langage, les technologies humaines sont sans équivalents dans le reste du monde animal. Selon Kevin Laland, notre espèce a elle-même créé les conditions de ce développement exceptionnel.
Fervent promoteur de la psychologie béhavioriste et de ses applications dans le monde de l’éducation et des thérapies, Burrhus F. Skinner est considéré comme l’un des psychologues les plus influents du 20e siècle.
La psychologie de la santé étudie les facteurs psychologiques, sociaux et biologiques jouant un rôle dans le maintien de la santé, mais aussi le déclenchement et l’évolution des maladies.
La neuropsychologie étudie le lien de la cognition, de la pensée, du comportement, avec l’organisation et le fonctionnement du cerveau.
Elle étudie les dispositions individuelles qui nous caractérisent et nous différencient des autres, tant dans notre manière de nous comporter que dans notre manière de penser, d’interpréter la réalité et de vivre des émotions.
Ce courant a dominé la psychologie américaine durant une large partie du 20e siècle. Il se révèle toujours opérationnel dans de nombreux domaines.
Figure de proue de la psychologie sociale, Albert Bandura a montré le rôle du sentiment d’efficacité personnelle. Ses théories partent d’une conception résolument optimiste de l’être humain.
Pour préserver la planète, il apparaît indispensable de faire évoluer les comportements individuels. Pourtant, il y a souvent un décalage entre les opinions et les actes qui interroge notre rapport au temps et à l’espace.
Maître-penseur du comportementalisme, Skinner, avec son idée de conditionnement opérant, se fait l’inventeur de l’enseignement programmé.
Qu’il s’agisse de les ressentir, les reconnaître, les exprimer ou les réguler, les émotions donnent lieu à des recherches toujours plus nombreuses et diversifiées.