L’historien américain Steven L. Kaplan rappelle l’importance du blé comme levain des « Lumières économiques » des années 1760.
L’historien américain Steven L. Kaplan rappelle l’importance du blé comme levain des « Lumières économiques » des années 1760.
Au 18e siècle, de nombreux esprits s’opposent aux philosophes. Ces anti-Lumières forment une mosaïque aux arguments multiples.
Avec son traité d’éducation, Jean-Jacques Rousseau initie la révolution copernicienne qui met l’enfant au centre du processus éducatif.
De la mort de Louis XIV en 1715 à la Révolution française, l’absolutisme royal, loin d’être totalitaire, s’adapte à son temps. Il anticipe même le nôtre ; on lui doit notamment l’essor des grands corps de l’État.
Les Lumières, dit-on volontiers, ont émancipé l’individu des tutelles de l’Église et de l’État royal. Qu'en est-il réellement ?
Au 18e siècle, l’Europe amorce une hégémonie mondiale, et cet essor inédit est associé aux Lumières. Un mouvement très divers, fédérant des acteurs partageant le refus de l’absolutisme, et le postulat qu’il est possible d’améliorer l’homme.
Notre justice est fille du 18e siècle. Si l’on vit aujourd’hui dans un État de droit, protégé par des lois et puni sans cruauté, c’est aux Lumières que nous le devons.
Un peu de Lumières… mais pas trop ! Au 18e siècle, les Français ne sont pas tous des adeptes de Rousseau ou Voltaire. Dans leur bibliothèque, on trouve en effet un ensemble hétéroclite, véritable bric-à-brac de la pensée du moment…
La diffusion des idées, la liberté d’expression, les mutations du livre… autant de thèmes qui résonnent dans notre société de l’information. L’historien américain Robert Darnton en retrace la genèse.
Les fondateurs de l’école de Francfort poursuivent l’œuvre critique du marxisme et l’étendent à ce qui incarne l’esprit de la modernité : les Lumières et la raison.
La notion de régime mixte n’est pas nouvelle : elle apparaît dans la réflexion des philosophes dès l’Antiquité.