Alors que déclinent les Empires ibériques, les Pays-Bas bénéficient à leur tour de la mondialisation maritime.
Alors que déclinent les Empires ibériques, les Pays-Bas bénéficient à leur tour de la mondialisation maritime.
Le sociolinguiste Louis-Jean Calvet observe les flux et reflux linguistiques. Avec une conviction : toutes les langues n’ont pas la même valeur marchande. La mondialisation conduit à la dévaluation de certaines langues, au profit d’autres.
« Brexit » en Grande-Bretagne, élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis… : l’année 2016 aura-t-elle marqué un grand tournant de la mondialisation, comme le fut l’année 1929 ?
Dieu ne connaît pas de frontières. La globalisation religieuse est donc un phénomène planétaire. Mais les croyants veulent toujours se distinguer…
Le coup de frein aux échanges commerciaux depuis la crise ne signe pas un repli global du commerce mondial. Elle succède simplement à une ère de croissance exceptionnelle pour revenir à un rythme de croissance plus normal.
En 1990 s’ouvrait une nouvelle étape de l’histoire du monde, que l’on a appelée « mondialisation ». Une génération plus tard, où en sommes-nous ? Quand on examine l’état de la planète, un constat s’impose : la mondialisation ne fait pas marche arrière mais entre dans une nouvelle phase.
Si la mondialisation marque le pas dans bien des domaines, le tourisme fait exception tant il est florissant. Cette mondialisation pacifique serait-elle le dernier lieu de la mondialisation heureuse ?
Des États-Unis de Donald Trump à la Chine de Xi Jinping, de nombreux États sont aujourd’hui tentés par la construction de nouveaux murs. Pourquoi ? Avec quels résultats ?
Pour comprendre et analyser un monde de plus en plus globalisé, toujours plus interdépendant, il semble aller de soi que les sciences sociales, elles aussi, doivent devenir globales. Mais le peuvent-elles, et à quelles conditions ?
En France, le syndicalisme traverse une crise profonde. Qu’en est-il ailleurs ? De quels modèles s’inspirer ? Deux chercheurs passent au crible le dialogue social dans quinze pays occidentaux.
Fruit de la globalisation, le cosmopolitisme incite à s’ouvrir aux autres et à vivre ensemble, dans la diversité culturelle. Mais son esprit n’est pas partagé par tous.
Le paysage religieux a profondément muté dans le sillage de la mondialisation. On assiste aujourd’hui à un durcissement des identités religieuses.
Émergence des nations dominées d’hier, montée des revendications identitaires, changement climatique…, le quart de siècle qui vient de s’écouler a profondément changé le paysage géopolitique mondial.
Depuis un quart de siècle, l’unification technoéconomique du monde entraîne des réactions de replis et des crises, économique, écologique, sociétale qui semblent nous précipiter vers le chaos. Mais ce peut-être aussi l’annonce d’un nouveau commencement.
Au-delà des facteurs économiques, les inégalités résultent aussi – et peut-être avant tout – d’un choix individuel.
La globalisation n’unifie pas le monde, elle le fragmente. En mettant les territoires, les droits et les salaires en concurrence, les firmes globales créent de nouvelles inégalités.
Les initiatives mondiales se multiplient dans le domaine de la santé. Cette nouvelle « santé globale » véhicule une nouvelle philosophie sanitaire.
Les réactions suscitées par l’épidémie d’Ebola le montrent : l’Afrique effraie autant qu’elle fascine, comme si elle méritait un traitement à part dans la mondialisation.