Du déchiffrage à la rédaction, l’apprentissage de l’écrit est un processus long et laborieux, qui dure d’ailleurs toute la vie. Quelles compétences travailler pour surmonter les obstacles ?
Du déchiffrage à la rédaction, l’apprentissage de l’écrit est un processus long et laborieux, qui dure d’ailleurs toute la vie. Quelles compétences travailler pour surmonter les obstacles ?
Bouger, expérimenter, coopérer, twitter… Il existe de nombreuses manières de construire ses apprentissages. Encouragées par les avancées de la psychologie cognitive, les méthodes actives prennent une place croissante dans l’enseignement et la formation.
Il existe différents outils et techniques pour augmenter sa mémoire. La palme de l’efficacité revient aux orateurs romains, dans l’Antiquité tardive, qui avaient imaginé la précieuse méthode des « loci » (lieux) pour retenir leur discours.
La qualité et la rapidité de l’apprentissage dépendent à la fois des émotions mobilisées, de la motivation, de l’attention, du retour d’information et de la consolidation des savoirs. Bonne nouvelle, il est possible de travailler chacun de ces points.
De récents travaux mettent en évidence des différences neuronales significatives, d’un individu à l’autre, associées aux capacités d’apprentissage des langues.
Les mathématiques ne se limitent pas à la manipulation des nombres. Elles sont un véritable langage, qui s’apprend dès le plus jeune âge.
Former l’esprit critique des élèves est devenu une priorité de l’école française, en réponse à la prolifération de thèses complotistes sur Internet. Mais comment faire ? Et de quoi parle-t-on au juste ?
Si l’on a tout à découvrir en arrivant au monde, l’apprentissage n’est pas le privilège exclusif de la jeunesse, il est possible tout au long de la vie. Mais à la condition d’y trouver du plaisir…
Il ne marche toujours pas à 10 ans, ou apprend à lire dès 5 ans. Est-ce un problème ? Si oui quelles sont les solutions ?
Carl R. Rogers est l’un des fondateurs de la psychologie humaniste. Son nom reste attaché à la notion de non-directivité, appliquée en psychothérapie et dans la pédagogie.
Ce psychologue biélorusse, écarté par le régime soviétique, a élaboré une théorie du développement humain dont l’école constitue le maillon essentiel.
Maître-penseur du comportementalisme, Skinner, avec son idée de conditionnement opérant, se fait l’inventeur de l’enseignement programmé.
Au 20e siècle, Piaget incarne, par excellence, la psychologie de l’enfant. Sa théorie constructiviste de l’intelligence est cependant aujourd’hui révisée par les recherches récentes.
Ce psychologue canadien a élaboré une théorie psychologique résolument optimiste qui mise sur la confiance en soi pour développer ses compétences.
Premier pédiatre britannique à devenir psychanalyste, il insista sur l’importance des relations précoces entre la mère et l’enfant, mais aussi de l’imaginaire et du jeu. Et favorisa la rencontre entre éducation et psychologie.
Connu pour sa contribution essentielle à la psychométrie, ce psychologue français a proposé une approche novatrice de l’intelligence et de ses possibilités de développement.
Elle a pour ambition de mieux comprendre ce qui se joue dans le cerveau d’un enfant qui apprend, et d’améliorer ainsi les méthodes d’apprentissage.
Une vague éducative d’un nouveau genre émerge, rejetant aussi bien l’autoritarisme que le laxisme.