Au 18e siècle, elles s’emparent des sciences dures comme les mathématiques ou la physique.
Au 18e siècle, elles s’emparent des sciences dures comme les mathématiques ou la physique.
Cette écrivaine, qui tenait un salon renommé au 17e siècle, a écrit de nombreuses œuvres sur le raffinement des mœurs.
Audacieuse autrice, obsédée par la gloire, elle a écrit seize ouvrages allant de la fiction au traité scientifique.
Dans l’Inde médiévale, cette poétesse développe une pensée qui entend dépasser les divisions et les hiérarchies.
Réfléchir, raisonner, faire de la recherche… Autant d’activités longtemps considérées comme masculines. Plusieurs révolutions politiques et culturelles ont été nécessaires pour faire entrer les femmes sur la scène des idées.
Dans la Grèce antique, Diotime aurait initié une doctrine philosophique permettant d’atteindre par étapes le beau, le vrai et le bonheur.
La femme la plus érudite du 12e siècle a transmis ses savoirs dans de nombreuses œuvres, notamment théologiques, médicinales et artistiques.
Cette femme lettrée a développé dans ses correspondances une éthique amoureuse basée sur l’engagement constant et irrévocable… Jusqu’au sacrifice de soi.
L’école de pensée de Pythagore comptait au moins une vingtaine de femmes dans l’Antiquité, dont Théano de Crotone qui en prit la direction.
Elle a complété et achevé le travail initié par son père sur les Han de l’ouest, la première grande dynastie impériale chinoise.
Bien avant notre ère, plusieurs femmes s’illustrent par leurs savoirs et leurs idées qui influencent l’histoire de la pensée.
Face aux performances des athlètes intersexuées et transgenres dans le sport féminin, l’idée de création d’une catégorie qui leur serait réservée fait son chemin.
Pour la philosophe Camille Froidevaux-Metterie, les nouvelles formes de conjugalité et de parentalité impliquent de penser la procréation dans une perspective égalitaire.
Pourquoi voulez-vous des enfants ? Quand on les interroge, les femmes évoquent une foule de raisons. Les sciences, elles, renvoient aux modèles parentaux, à l’inconscient ou même à l’instinct maternel. Autant de réponses qui ne résistent pas à une enquête un peu poussée…
La mère est un motif récurrent dans l’histoire de l’art. Longtemps dépeinte sous les traits de la Vierge, puis de la gardienne de la lignée, elle prend à partir du 18e siècle une figure aimante et protectrice.
Entre destinée biologique, exigence morale et liberté de procréer, la maternité est une expérience qui a connu plusieurs évolutions contrastées depuis le 17e siècle.