Un bilan des savoirs sur cette question vient d’être publié. Conclusion : l’attirance homosexuelle n’a rien d’un choix.
Un bilan des savoirs sur cette question vient d’être publié. Conclusion : l’attirance homosexuelle n’a rien d’un choix.
De nombreux instituts de sondages se sont penchés sur la question depuis dix ans… Petit tour d’horizon des résultats.
L’Occident n’a pas le monopole de la pornographie, tous les peuples du mondes ont représenté des scènes sexuelles. Mais pour quoi faire ?
Des troubles de la fertilité aux phénomènes de puberté précoce, les troubles endocriniens inquiètent les autorités sanitaires. Phtalates et pesticides sont mis en cause.
Le 19e siècle est marqué par l’émergence de deux nouvelles notions : « homosexualité » et son corollaire « hétérosexualité ». Auparavant, les normes n’étaient pas pensées en termes d’orientation sexuelle.
Pour trouver un(e) partenaire, les animaux ont recours à deux stratégies principales : le combat ou la séduction. Les deux stratégies contribuent à sélectionner des parures, des armes et des comportements souvent exubérants.
Pour que notre libido s’active, certains neurones doivent se désactiver. C’est ce que montre l’imagerie cérébrale, qui permet de repérer les zones impliquées dans l’excitation et le plaisir sexuels.
Les enfants manquent souvent d’informations sur la sexualité. Comment leur en parler sans être ni trop intrusif ni trop répressif ?
Le marché de la pornographie a pris de l’ampleur et s’est banalisé. Les codes du X ont-ils pour autant pénétré les chambres à coucher ?